Fêtes de fin d’année… ou quand Noël décide de tomber en novembre 

Cette année, la magie a pris un peu d’avance : Noël a visiblement décidé d’arriver en novembre. Une initiative surprenante, juste avant la paie et quelques semaines avant le 13e mois, un hasard du calendrier absolument fascinant. 

Cela dit, rendons à la magie ce qui appartient à la magie : la soirée proposée a été véritablement appréciée par ceux qui ont pu y participer. Beaucoup de salariés ont exprimé leur plaisir de vivre un moment festif, de décompresser un peu, et de profiter d’un événement toujours bienvenu en fin d’année. 

Mais (car il y a toujours un “mais”) comme tous les ans, tout le monde n’a pas pu y accéder. Entre les places qui disparaissent plus vite qu’un créneau de parade un samedi soir, et The Hub qui ouvre ses réservations avec une précision horlogère façon “premier arrivé, premier servi”, certains se sont retrouvés sur le carreau et comme c’était avant que les comptes ne se remplissent : résultat, un petit parfum de « magie low-cost », comme certains l’ont dit en plaisantant. 

Mais après tout, pourquoi pas ? 
Si la tendance se confirme, on finira peut-être par avoir : 
– Pâques en février, 
– la galette des rois en décembre (on me dit dans l‘oreillette que cela va être le cas), 
– et, soyons fous, le 14 juillet en mai. 
Toujours dans un esprit de créativité et d’audace, bien sûr. 

Rien d’alarmant, bien sûr. Juste une réalité que beaucoup ont relevée avec un sourire un peu crispé : recevoir une soirée de Noël en avance, c’est sympathique ; pouvoir y aller et en profiter, c’est encore mieux. 

L’intention reste appréciée, et la magie aussi… même si elle gagnerait peut-être à être un peu plus inclusive. 
Après tout, les fêtes de fin d’année sont encore plus belles quand elles tombent pour tout le monde.