La palme d’or de l’improvisation estivale est attribuée à celles et ceux qui ont eu la brillante idée de gérer les Pass en Scène selon la grande procédure du… « GRAND N’IMPORTE QUOI ». Une performance inédite depuis l’ouverture du Resort, digne d’un scénario jamais vu, et surtout jamais validé !
On aimerait savoir quel génie (ou apprenti sorcier) s’est levé un matin avec l’illumination de bloquer et débloquer en une fraction de seconde des dates déjà grisées, transformant ainsi la réservation des salariés et de leurs proches en véritable attraction : “Le grand jeu du chat et de la souris en ligne”. Un manège quotidien, qui amuse peut-être certains services… et semble même avoir fait sourire la Direction.
Et parce qu’un spectacle n’est jamais complet sans un numéro comique, voici le clou de la représentation : la traduction improvisée des jours de la semaine. Ainsi, le mercredi devient “Épouser”, le samedi se rebaptise “Assis” et le dimanche brille sous le nom de “Soleil”. Un festival linguistique qui aurait sans doute sa place dans une parodie, mais certainement pas dans la communication officielle aux salariés.
La palme d’or de l’improvisation estivale est attribuée à celles et ceux qui ont eu la brillante idée de gérer les Pass en Scène selon la grande procédure du… « GRAND N’IMPORTE QUOI ». Une performance inédite depuis l’ouverture du Resort, digne d’un scénario jamais vu, et surtout jamais validé !
On aimerait savoir quel génie (ou apprenti sorcier) s’est levé un matin avec l’illumination de bloquer et débloquer en une fraction de seconde des dates déjà grisées, transformant ainsi la réservation des salariés et de leurs proches en véritable attraction : “Le grand jeu du chat et de la souris en ligne”. Un manège quotidien, qui amuse peut-être certains services… et semble même avoir fait sourire la Direction.
Et parce qu’un spectacle n’est jamais complet sans un numéro comique, voici le clou de la représentation : la traduction improvisée des jours de la semaine. Ainsi, le mercredi devient “Épouser”, le samedi se rebaptise “Assis” et le dimanche brille sous le nom de “Soleil”. Un festival linguistique qui aurait sans doute sa place dans une parodie, mais certainement pas dans la communication officielle aux salariés.
La CFDT demande une rectification immédiate de ces incohérences et, surtout, l’instauration d’une concertation annuelle obligatoire avec les Organisations Syndicales représentatives sur les dates de blockout et les procédures associées. Cohérence et équité doivent redevenir les véritables vedettes de cette histoire.
En attendant, le bilan de l’été 2025 est sans appel : un triste 1 sur 5.
(Et rappelons-le, 5 est la note maximale de satisfaction des salariés de Disneyland Paris).
À l’an prochain, espérons-le, pour une suite plus inspirée et digne de la magie Disney.
La CFDT demande une rectification immédiate de ces incohérences et, surtout, l’instauration d’une concertation annuelle obligatoire avec les Organisations Syndicales représentatives sur les dates de blockout et les procédures associées. Cohérence et équité doivent redevenir les véritables vedettes de cette histoire.
En attendant, le bilan de l’été 2025 est sans appel : un triste 1 sur 5.
(Et rappelons-le, 5 est la note maximale de satisfaction des salariés de Disneyland Paris).
À l’an prochain, espérons-le, pour une suite plus inspirée et digne de la magie Disney.
